Michel Jean-Marie GERMAIN est médecin (Docteur d’Etat en médecine, Faculté de Montpellier le 24 Mars 1977). ll exerce en cabinet libéral depuis 2008, dans le domaine exclusif des médecines dites alternatives comme sophrologue, hypnothérapeute, psychobiothérapeute. Son domaine d’action est : la relation d’aide psychocorporelle ; l’accompagnement thérapeutique ; la gestion des stress ; l’aide à la transformation des traumatismes ; accueillir et vivre ses émotions ; l’accompagnement à la compréhension et à la transformation du sens des maladies et des comportements répétitifs : décodage psychobiologique, biopsychogénéalogie, empreinte de naissance, cycles cellulaires biologiques mémorisés ; le développement des relations interpersonnelles constructives dans la vie quotidienne dont le couple ; la transmission de l’esprit et du processus de médiation; la pratique de la médiation.
Son parcours professionnel se décline en quatre étapes.
Il fut d’abord interne des hôpitaux de Montpellier (spécialiste en pédiatrie en 1978) puis chef de clinique à la faculté, assistant des hôpitaux au CHRU de Montpellier comme pédiatre néonatologiste (1977-1981). Durant cette période il s’est plus particulièrement occupé de la relation entre la mère et l’enfant autour de la naissance et des approches restaurant ou facilitant cette communication.
Puis en 1981 il a intégré le corps d’Etat des médecins inspecteurs de santé publique d’abord en Aveyron puis dans la région Languedoc-Roussillon (1982-1989). Durant cette période, au sein de la DRASS de cette région, il a dirigé l’observatoire régional de la santé, établi et suivi la mise en œuvre d’un plan régional de périnatalité avec un important volet de formation des professionnels et une implication des départements (PMI et sages – femmes à domicile). Il supervise et contrôle les instituts de formation menant aux Diplômes d’Etat sanitaires et médico-sociaux.
En 1989 Il est nommé médecin inspecteur territorial de la santé en Nouvelle-Calédonie où il exerce 10 ans dans une période marquée par une grande transformation des structures de soins publiques et privées et par une profonde évolution des exercices professionnels. Puis il dirige la DPASS de la province Sud (2000-2005). Au cours de cette étape, à travers les problèmes de vie quotidienne du terrain et des confrontations des professionnels de la santé, du médico-social et du social de cette administration polyvalente, il initie et développe une approche globale et plurielle des interventions auprès des personnes clientes. Il met en place des programmes d’actions et de formations pour la prise en compte des publics difficiles et exclus, il impulse l’approche centrée sur la personne. Il facilite la formation à l’accueil des violences et à l’esprit de médiation et à la pratique de la médiation. Le champ des violences intrafamiliales et des violences conjugales fut privilégié avec l’émergence du Relais de la Province sud. Il se forme à partir de 2000 à la médiation auprès du centre de médiation et de formation à la médiation (CMFM PARIS) qui vient en Nouvelle-Calédonie au moins une fois par an depuis 10 ans.
Après avoir travaillé et enseigné dans ces différents secteurs de la santé, il décide de se consacrer à un exercice exclusif de la médecine, encore appelée aujourd’hui alternative ou complémentaire aux soins techniques classiques et spécialisés. Ses champs préférentiels d’actions sont mentionnés ci-dessus. Il enseigne à l’institut de formation des professions de santé et sociales de Nouvelle Calédonie. De 2008 à 2013 il y forme avec Véronique BICHE, les étudiants au CAFME (moniteurs éducateurs) et ceux au diplôme d’auxiliaire de vie sociale, à la gestion des émotions, à l’esprit et à la pratique de médiation dans leurs contextes professionnels. Il enseigne depuis au Centre d’Etudes de Sophrologie Appliquée (CESA) depuis son ouverture en 2011. Il met en place avec Sandrine SARRAILLE une formation au développement des compétences en intelligence émotionnelle. Il met en place avec elle l’esprit de médiation et la pratique de la médiation auprès des couples soit sous forme de médiations du couple, soit sous forme de séminaires de groupe. Son domaine de recherche concerne la transformation des traumatismes de stress émotionnels, l’approfondissement des pratiques sur l’intégration du sens des maladies, l’appropriation des techniques de changements et d’autonomie.